En tant qu’analyste en intelligences d’affaires, le rôle de Christophe est de faire parler les données et de leur donner une dimension stratégique. Carburant aux défis et à l’innovation, c’est pour lui un vrai terrain de jeu, mais aussi une grande satisfaction, car il apporte une grande contribution à BBA.
Faire parler les données et leur donner une dimension stratégique
En tant qu’analyste en intelligence d’affaires chez BBA, je suis appelé non seulement à traiter et à organiser les données de l’entreprise, mais surtout à les faire parler et à leur donner une dimension stratégique. Ce n’est pas d’aujourd’hui que les chiffres m’intéressent. Après être entré à l’université en administration, je me suis rapidement orienté vers la spécialisation en technologies de l’information, puis j’ai fait ma maîtrise en intelligence d’affaires.
Cela peut paraître un peu aride de prime abord, mais je trouve au contraire que c’est passionnant. Regrouper les données et les structurer au sein d’outils d’analyse performants exige une bonne dose de créativité. Je fais ce travail en sachant qu’au bout du compte, j’aiderai BBA à prendre les meilleures décisions possibles.
Sentir que son travail est apprécié
D’entrée de jeu, quand je suis arrivé chez BBA il y a 4 ans, j’ai été surpris par la simplicité des relations et par l’esprit d’ouverture qui règnent entre les différents niveaux hiérarchiques. En fait, on ne sent que très peu la hiérarchie dans les interactions quotidiennes. C’est le côté humain qui prime, et on sait nous faire confiance. Quelques semaines seulement après mon arrivée, j’étais convié à des réunions du comité exécutif de l’entreprise où les gestionnaires s’adressaient à moi pour savoir quelle contribution je pouvais apporter avec ma spécialité. Aujourd’hui, je travaille souvent en collaboration directe et fluide avec les dirigeants de l’entreprise.
Photo : Luc Champoux, Patrick Brosseau, Maxime Bachand, Michael Tomlinson, Christophe et Maxime Gil-Blaquière.
Une ascension vers un but commun
J’ai eu la chance de faire mon entrée à un moment où BBA cherchait à développer davantage son volet intelligence d’affaires et où l’entreprise était en pleine croissance. J’ai senti qu’on me faisait confiance et que je pouvais avoir un impact en fournissant de l‘information claire, susceptible d’influencer l’orientation des stratégies.
Amateur d’escalade, j’aime bien utiliser la métaphore de l’ascension d’un mur pour décrire ma vision du travail : considérée à priori comme une activité individuelle, elle se fait généralement en équipe. Chacun·e a donc son rôle à jouer pour atteindre le sommet efficacement et en toute sécurité, que ce soit en agissant comme guide pour offrir du soutien, analyser les risques et proposer des solutions, ou en étant en plein cœur de l’action pour attaquer les défis.
C’est d’ailleurs l’une des grandes forces de BBA, qui a bâti une culture basée sur la collaboration et l’ouverture aux nouvelles idées : on a tous le sentiment de travailler ensemble vers des objectifs communs, et ça, c’est vraiment motivant. Je n’ai pas l’impression d’être un simple exécutant au sein d’une grande structure, mais plutôt celui d’apporter une vraie contribution dans une organisation clairement appelée à grandir rapidement. Alors que BBA compte aujourd’hui 16 bureaux au Canada et à l’international, j’ai encore bien des défis intéressants à relever.
Des fois, ça me donne l’impression que je pourrais presque porter le macaron « Data Rockstar » qui traîne dans mon tiroir…
Collaborer pour trouver les meilleures solutions
Souvent, les gens de données, de programmation et de chiffres peuvent être perçus comme des introvertis qui préfèrent travailler seuls à leur écran. Je tiens à briser cette généralisation, en me basant sur ma propre expérience : même si j’adore être dans ma bulle pour bien avancer mes projets, j’ai aussi besoin d’aller au-devant des autres et sentir que la communication passe bien. C’est important pour réussir dans mon travail, parce que je dois être en mesure de bien expliquer les solutions que je propose à mes clients internes et m’assurer qu’elles répondent adéquatement à leurs besoins. D’ailleurs, le fait d’évoluer au sein d’un bureau d’ingénieur.e.s contribue selon moi au fait qu’on se comprend rapidement. Disons que la plupart des personnes avec qui je parle ne sont pas dépaysées lorsqu’il est question d’équations et de calculs!
Quand j’arrive avec une solution, je sais qu’elle doit être bien conçue, car mes collègues sont en mesure d’y trouver des failles : c’est la nature même de la profession d’ingénierie qui a la responsabilité de la sécurité et de la durabilité des projets. En retour, lorsque je propose des outils qui permettent d’améliorer la productivité, je sens rapidement qu’on apprécie ma contribution. De nombreuses personnes reconnaissent l’utilité de certains outils que j’ai créés et ils me le font savoir. Des fois, ça me donne l’impression que je pourrais presque porter le macaron « Data Rockstar » qui traîne dans mon tiroir…
La motivation de travailler pour une juste cause
Les années qui viennent s’annoncent passionnantes dans mon domaine et pour l’ensemble des secteurs de BBA. L’entreprise est toujours en pleine croissance et les solutions que je mets en place doivent pouvoir soutenir cette évolution. Avec l’accent que place BBA sur les questions environnementales et les projets d’innovation que nous poursuivons, je trouve ça valorisant de savoir que je place mes efforts au service d’une organisation qui a des valeurs fortes, notamment en ce qui a trait à l’impact social, au développement durable, à la rigueur et à l’éthique. Cela donne un vrai sens à ce que je fais.